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Le coût environnemental par la méthode d’évaluation contingente

Lundi 17 décembre 2012 à 1:02

La valeur associé à un bien environnemental peut être reflétée par aucun comportement ni prix. C’est par exemple le cas de la valeur de leg, qui est en jeu lorsque l’on veut pouvoir utiliser un bien dans le futur ou que l’autre, en particulier nos descendants puissent profiter. On définit également la valeur d’existence comme une valeur attachée au maintien d’un bien indépendamment de ses usages présents ou futurs et cette valeur ne peut s’obtenir autrement qu’en demandant aux individus ce qu’ils en pensent.

L’évaluation contingente est justement une méthode pour laquelle on s’adresse aux agents pour connaitre leur évaluation d’un bien environnemental, c’est une méthode de révélation des préférences. Pour cela, on leur demande combien ils seraient prêts à payer pour que ce bien soit conservé ou encore de combien ils voudraient être dédommagés si ce bien disparaissait. On dénomme ces sommes le consentement à payer et le consentement à recevoir. On peut demander la même chose pour une pollution, et on peut même le demander pour plusieurs niveaux de pollution, ou plusieurs niveaux d’utilisation du bien environnemental.

Cette méthode permet d’avoir une évaluation pour l’individu de la valeur du bien, qui plus est déjà dans une unité permettant la comparaison avec d’autres évaluations, puisqu’elle est en unités monétaires. Elle est cependant sujette à de nombreuses critiques.

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Les étudiants et la fraude à l'examen

Lundi 1er octobre 2012 à 11:59

Certain étudiant sont vraiment très malin. Il maitrise bien la nouvelle technologie pour pouvoir faire de la fraude pendant l’examen. Nombreux sont ceux qui n’hésiteront pas à payer cher pour pouvoir triché à l’examen. Et c’est incroyable, certains arrivent même à négocier avec les jurys ou les surveillants. Oui, cette pratique est vraiment honteuse.

Je me demande bien pourquoi ces étudiants ne concentrent pas leurs énergies pour étudier ? Au lieu de maitriser par exemple un logiciel permettant de tricher, pourquoi ne pas apprendre les leçons ! Cette opération n’est-elle pas assez simple. Je dis bien que les étudiants qui font de la triche dépensent bien plus d’argent, de temps et d’énergie qui étudie bien. Et c’est vrai parce que ces étudiants qui font de la triche pour réussir l’examen sont beaucoup plus intelligent que ses collègues mais ils ne veulent pas travailler ! C’est tout simplement de la paresse !

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Les étudiants d’aujourd’hui

Samedi 22 septembre 2012 à 13:30

C’est vrai que les étudiants d’aujourd’hui sont plus avantageux que les générations antérieures. Non seulement ils bénéficient de tous les meilleurs enseignants mais on a déjà reformé mainte fois le système d’enseignement. Ce qui dit que l’enseignement évolue de plus en plus. L’acquisition de la connaissance est désormais facile, pas comme avant ! Il est maintenant possible de tout apprendre, à condition que vous ayez le temps bien sûr !

On peut désormais consulter des cours à distance, des ouvrages, des articles, des revues, etc. Il est aussi possible de faire des exercices en ligne où des professeurs virtuels vous aident progressivement. On peut aussi publier son mémoire en ligne pour aider les autres étudiants par exemple. Bref, tout est possible.

Mais malheureusement, on constate que les étudiants ne sont pas plus performants que leurs ainés ! Bizarre non ! On se demande bien quelle est la source du problème ? Si la connaissance est partout, pourquoi les étudiants n’en profitent pas ! Au contraire, c’est comme si l’apparition des nouvelles technologies rendent encore plus bas le niveau des étudiants. Au lieu de les aider, la technologie distrait les étudiants. Et c’est là le problème ! Tant qu’il n’y aura pas une politique bien fondée, ce problème va toujours continuer en cercle vicieux !

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